Réparation des corps éthérique et subtils

Les corps éthérique, subtils, l'aura, font référence à des couches invisibles ou dimensions de notre être au-delà du corps physique. Ils sont reliés aux 7 chakras principaux et vibrent à différentes fréquences. Pour schématiser, je dirais qu'ils me font penser à des "airbags".

La compréhension de leur rôle m’échappait complètement. J’imaginais même, qu’ils n’étaient que « de passage » et disparaissaient avec les chairs, suite au trépas.

L’expérience, les témoignages font qu’à présent je comprends qu’ils sont liés à l’âme et reviennent d’incarnation en incarnations, portant aussi les stigmates de blessures antérieures.

1 - Pour illustrer ces propos, je vais parler de mon vécu. Maman de quatre enfants avant mes 26 ans, j’étais dynamique, sportive, n’avais pas de surcharge pondérale. Après la dernière naissance, mon ventre n’était qu’éventrations. J’ai été opérée, recousue et ai hérité d’une plaque afin de protéger mes organes. Le temps a passé, les chairs ont cicatrisé, mais mon chakra sacré semblait inexistant. A l’époque je n’en avais absolument pas conscience. Pendant une formation en lithothérapie, alors que nous travaillons les uns sur les autres, mes camarades me disaient :  - « C’est bizarre mon pendule ne marche pas, là, c’est comme si tu n’avais pas de chakra sacré… » Effectivement nous en avons tous, dans mon cas, il était très déficient, voilà tout !

Au cours des soins que je dispense, j’ai régulièrement des visions, ou de la clairsentience, c'est-à-dire que je « sais » ce qu’il s’est passé parfois, concernant des blessures. J’ai la chance d'avoir l'autorisation et la capacité d’y remédier. Ce qui me permet d’intervenir et de colmater les déchirures ou autres dégradations des corps éthérique, subtils, toujours d'actualité dans cette incarnation terrestre. 

Je propose aussi, à ceux qui le souhaitent d’écrire des messages sous la dictée des guides. Le temps du soin, je suis « canal ». Je pose mes pierres sur le patient, elle travaillent. Je place mes mains au dessus de son corps et envoie de l'énergie, je fais du LaHoChi. Puis à l'aide d'un cristal de roche, je lisse les auras et je peux noter ce qui m’est dit. Cela demande beaucoup de concentration, mais j’y parviens. J'annonce que je n’aurais pas les numéros du loto, ni ceux de l’Euro million… Il est rare que j’aie des renseignements de leurs proches défunts. En revanche, je reçois des informations concernant des vies antérieures ou leur chemin spirituel. L’intérêt pour moi est d’apprendre s’ils ont reçu de violentes blessures, pouvant encore impacter leur corps d'aujourd’hui, afin que je puisse agir pour qu’ils n’en gardent plus de traumatismes.

Réparation : Je prends ma pointe d'améthyste et demande à mes guides de m'aider. Ma main commence à tracer, au dessus du corps, des "e" comme si elle recousait. En fonction de l'intensité des dommages, les "points" seront plus serrés et petits, au bout d'un moment, ils vont devenir lâches, voire gigantesques. Quand j'entends : "c'est bon !" Je pose le cristal et impose les mains, jusqu'à couvrir toute la zone concernée. C'est intense, je sens les énergies se concentrer, la trame s'étoffer. Une fois encore je reçois : "C'est fini, tu peux arrêter, c'est bien !" Alors je cesse.

J’aurais tant d’exemples à donner ! Je ne vais pas témoigner de tout ce que j’ai pu constater, ce serait trop long,  je vous en livre juste quelques-uns.

Assez régulièrement, les intéressés me disent sentir les circonvolutions de l'améthyste, tandis que je  travaille aux endroits blessés (dans un passé lointain), sans que je ne les touche... Très étonnés, ils perçoivent des picotements, étirements, de la chaleur.

J'entends fréquemment, au moment où j'étends les mains : "On dirait que vous me faites un pansement avec de la ouate ou du coton."

4 - En lissant les auras avec un cristal de roche, j’ai vu que l'homme que je traitais, avait été blessé au bas ventre par un coup de sabre, lors d’une charge de cavalerie, pendant une bataille Napoléonienne. Ma vision me montrait une entaille d’environ dix centimètres.  

À chaque fois que je répare, je demande "là-haut" qu'ils guident mes mains, afin d'être la plus efficace possible, ne connaissant pas les dommages existants. À mon immense surprise, j’ai travaillé d’une hanche à l’autre, puis du pubis jusqu’au-dessus du nombril. Je m’en suis étonnée à voix haute, c’est pourquoi celui qui était allongé sur ma table, m’a demandé si je souhaitais qu’il se dévêtisse. Il m’a raconté que j’avais suivi rigoureusement le tracé de ses cicatrices. En effet, à 20 ans, il a eu un accident de voiture assez grave. Ses corps énergétiques ayant été abîmés dans une vie antérieure, au moment de l’impact dans celle-ci, les tissus n’étaient pas assez protégés, n’avaient pas suffisamment de tonus, de vigueur pour résister. Ils ont donc « lâché »...

5 - Une septuagénaire se plaignait d’avoir un point douloureux au milieu du dos sous l’omoplate. En l’entendant, j’ai eu la certitude qu’elle avait reçu un javelot, à l’époque romaine antique. Je suis intervenue, quelques semaines plus tard, elle m’a fait savoir qu’elle n’en souffrait plus.

Une fois disponible, qu'il demande en plaçant ses mains, à ce que les corps énergétiques de son garçon soient réparés de toutes traces de la tragédie. Evidemment qu'il passe longuement ses bras et mains dans l'eau à l'issue, en portant l'intention de les nettoyer totalement. Ainsi par ce protocole, il pourrait régénérer et ceux de son enfant et les siens de surcroît. J'avais travaillé sur lui pendant le soin, mais je savais que s'il agissait comme je le lui proposais, ce serait aussi bénéfique pour lui.

Trois jours plus tard, il m'expliquait qu'il avait appliqué ce que je lui avais dit, sans trop savoir si cela servirait à quelque chose, ou pas... A son immense surprise, une cloque est apparue par la suite, sur le dessus de sa main droite, comme une brûlure. Il est certain de ne pas avoir été en contact avec quoi que ce soit qui puisse l'expliquer... autrement que par le fait qu'il ait bien coupé le feu qui les avait embrasés plusieurs siècles auparavant !

En l'écoutant, j'ai eu la vision qu'il avait été maître verrier et fabriquait des vitraux pour les lieux de culte, ainsi que pour les habitations des personnes plus aisées. Il avait été appelé par un voisin et était sorti avec lui. Un courant d'air ou quelque chose comme ça a dû embraser son feu, qui a tout brûlé, l'atelier jouxtant son habitation... Lorsque je le lui ai relaté, il est resté sans voix, m'expliquant qu'il avait passé un week-end chez un souffleur de verre et qu'il avait adoré. Il espérait y retourner à nouveau, tant il trouvait cela passionnant...

A peine lui ai-je raconté ma vision, qu’elle s’est exclamée : - « Je le savais bien, j'ai toujours eu en horreur les mariages. Depuis mon plus jeune-âge, tout le monde me dit que je ne suis pas « normale » parce que tout le monde aime les mariages, mais pas moi ! Elle était incapable d’expliquer pourquoi ! Son attitude étonnait, elle ignorait quoi dire, pourtant elle ressentait un rejet si fort. Maintenant, elle réalise qu'elle a vécu une tragédie dans ces circonstances et en a gardé des traces psychologiques fortes.

À chaque fois que je sens qu’une personne a été brûlée, je travaille avec le diapason correspondant au chakra du cœur : 136,10 Hz.

Bref ! Dans nos vies depuis le début de l'humanité, nous avons été amenés à utiliser du feu. À chaque fois mes mains et diapasons vibrent longuement pour redynamiser les corps abimés ! 

10 - La patiente brûlée-vive à un mariage, avait aussi vécu en Alaska, il y a bien longtemps. À cette époque, elle était homme et particulièrement doué(e) avec les chiens. Il avait constitué un bel élevage. Ce jour-là, il était parti avec un traîneau tiré par un attelage de huit bêtes. L’hiver était très rigoureux, une tempête de neige arrivait. Impossible de se mettre à l’abri. Les chiens sentant le temps changer, ont accéléré l’allure, sans remarquer que leur maître, qui avait omis de s’attacher, avait chaviré dans un virage. Quand ils s’en sont rendus-compte, ils ont fait demi-tour pour le retrouver. Quelques heures plus tard, ils étaient sur les lieux où il était enseveli, mort asphyxié, congelé sous la neige.

Témoignant de ma vision, l’intéressée m’a dit d’un trait : - « Je comprends mieux pourquoi j’ai toujours souffert de claustrophobie ! Je ne monte jamais dans un ascenseur. Tout me parle, je suis souvent dans les extrêmes, donc avoir été brûlée vive, congelée, asphyxiée, ça me ressemble ! »

12 - Pas toujours facile d’annoncer à une jeune adulte, qu’elle faisait partie d’une famille régnante en Chine (ou d’ailleurs) il y a plusieurs millénaires, qu’il y a eu un coup d’État et qu’ils ont tous été décapités. Par conséquent il serait opportun, nécessaire voire indispensable, de réparer autour des cervicales, pour éviter que plus âgée, elle ne soit percluse d’arthrose à ce niveau-là. Certains ont même le sentiment par moment, que leur tête se dissocie de leur corps. Ils vivent tout en ne se sentant pas vraiment "entiers".

13 - De même, expliquer à quelqu’un, qu'il y a 3500 ans, elle a été sacrifiée à l’âge de 10 ans, chez les Incas ou Mayas (je ne me rappelle plus lesquels…) Prendre le temps d'énoncer qu'il s’agissait là, d’un très grand honneur pour sa famille et elle… Elle était la plus jolie fillette, avait reçu une bonne éducation, était d'une nature généreuse, sociable, serviable. Il s'agissait d'offrir à la Divinité, l'être le plus accompli, "parfait" de sa communauté, pour qu'Elle veille sur tous, avec compassion et générosité !

Il n’empêche que je voyais que je devrais insister au niveau du cœur. La cage thoracique avait été défoncée, ouverte avec une sorte de hache ostensoir, l’organe sectionné et sorti du corps, ainsi que la gorge tranchée. Il était important d’intervenir pour éviter des problèmes de thyroïde, cordes vocales, tout ce qui est lié au chakra de la gorge et au plexus cardiaque, dans les vies suivantes.

Sa réflexion spontanée a été : "J'ai toujours su que j'avais été sacrifiée, d'une manière ou d'une autre pour sauver ma famille !" Et par extension : son ethnie, considérant leurs croyances...

La démarche n’est pas de focaliser sur les atrocités qui ont pu être, mais de permettre de vivre le mieux possible dans cette nouvelle incarnation terrestre. Les flashs que je reçois, concernent toujours des vies qui ont des réminiscences dans celle-ci ! 

En revanche, lorsqu’il s’agit de tendons d'Achille. J’ai beau travailler dessus, je n’arrive pas à enlever totalement les souffrances, ou la gêne qu’il peut rester  encore aujourd’hui. Je ne sais pas pourquoi, il doit y avoir autre chose, que je ne suis pas capable de saisir… J’ai tant à apprendre. Cela me sera peut-être accordé, plus tard… C'est le chemin !

En attendant j'ai les coordonnées d'une excellente acupunctrice, qui a sauvé les miens. J'avais rencontré un chirurgien orthopédique, tant je souffrais. Il avait fait la grimace en examinant mes échographies et m'avait expliqué que l'opération serait invalidante pendant un bon moment. Aussi cela valait la peine de tout essayer avant de se revoir pour programmer une chirurgie...

J'ai eu plusieurs visions me montrant des scènes, au cours desquelles mes tendons d'Achille avaient été sectionnés. La première fois c'était voici 1500 ans en petite Bretagne, par des barbares venus de la mer... Je sais que cela m'est arrivé à plusieurs reprises, surtout du côté gauche... 

Je crois que l'explication de nombre de nos « mal-être » d’aujourd’hui

est, en partie, à trouver dans les péripéties de nos incarnations précédentes…